A Propos


L’écriture, c’est la peur, la joie, la tristesse. Je vis ce que j’ai vécu, je ressens ce qu’iels ressentent, j’appartiens pendant un temps à un monde qui n’est pas le mien. J’éprouve des émotions qui ne sont pas à moi. Et c’est ce qu’il y a de plus merveilleux.


Ancienne étudiante dans le milieu des beaux-arts, je souhaite aujourd’hui partager avec vous mon univers, ma manière de voir le monde et de m’y confronter. Enfoncée dans mon canapé rose, depuis un an, je rédige et prépare mon entrée dans le système particulier de l’auto-édition.


Pourquoi ce choix de l’auto-édition ?


Il était important pour moi de garder une mainmise totale sur mes créations. Couverture, mise en page, correction, promotion… J’aime pouvoir tout diriger. Cela ne m’empêche pas bien sûr de passer par des bêta-lecteur.ices par exemple. Peut-être qu’un jour, lorsque j’en aurai les moyens, je m’associerai avec d’autres prestataires, designers et artistes pour les couvertures, des illustrations ou des produits dérivés. J’adorerais faire ce genre de collaboration.




Image photo de l'autrice de l'enfer ou la liberté Alissia Franck


« Quelle est ta couleur préférée ? »

Cette question m’angoissait auparavant.

Comment pourrais-je en choisir une ? Comment savoir quelle pourrait être ma teinte de prédilection ? Je n’en adore et n’en déteste aucune. Elles sont partout autour de nous, mais ne sont rien pour moi. Et puis, appréciant les choses « mignonnes » et « féminines », j’ai terminé par naturellement me diriger vers le rose jusqu’à ne plus porter que cela. Aujourd’hui, je peux donc le dire : ma couleur favorite est le rose. C’est une couleur que je revêts bien, une couleur que je trouve charmante et qui est à la fois un peu provocatrice, mais aussi encombrante. Le rose c’est pour les filles, pas pour les femmes. On se retourne sur mon passage, on me dit que ce n’est pas une couleur d’adulte, comme si ce terme avait un réel sens. Est-ce que j’aime le rose ? Oui, je pense que c’est une des façons d’aimer. Et puis, en fin de compte, rappelons que le rose, ça n’existe pas.